Attaque du service public et
destructions des droits sociaux : C’est au capital de payer, pas aux travailleurs-euses
Pendant plus de dix jours les cheminot-e-s ont entamé une grève reconductible majoritaire (contrairement aux dires des médias, les syndicats appelant à ce mouvement représentaient environ 60% des votes aux dernières élections professionnelles à la SNCF) afin de s’opposer à la casse de la SNCF et à la libéralisation du rail voulue par l’Union européenne.